Street urgentistes Divergence
Ceux qui ont vu « Wall Street », avec Michael Douglas, « Le loup de Wall Street », avec Leonardo di Caprio, ou « American psycho », avec Christian Bale, le savent. Et ceux, pour les rares survivants, qui ont vu « American psycho 2 », avec Mila Kunis, le confirment. La Bourse, pardon mesdames, c’est pas pour les gonzesses.nLa presse anglo-saxonne, qui est à la presse française ce que Michel Polnareff est à Julien Doré, se fait régulièrement l’écho du sexisme persistent des salles de marché, où les patrons se croient tout permis à l’égard de leurs employés es. Certes, les marchés financiers ne sont pas les seuls à avoir cette culture du harcèlement sexuel, et je suis bien certain que, dans n’importe quelle, au hasard, entreprise de transports ou d’accessoires de sport, les « comportements déviants », comme on les appelle, sont aussi nombreux que les calendriers Pirelli collés sur le placard où on range ses affaires, pardon mesdames, avant de commencer le travail.n