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Tiens, le retour de la « Trumpette » !
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Tiens, le retour de la « Trumpette » ! Divergence
On s’ennuyait, il nous manquer, mais le voilà de retour par la grande porte médiatique, c’est le retour de la « trumpette » !
Quelle histoire, un ancien président d’une République démocratique devant un juge.
Bizarrement, cela nous rappelle quelqu’un un certain Nicolas S., mais bon revenons outre Atlantique…
L’homme d’affaires, le comique Donald, a commencé la journée du mardi 4 avril à New York comme premier président inculpé de l’histoire du pays. 34 chefs d’inculpation lui ont été signifiés. Il l’a terminée comme candidat en campagne depuis son palais de Mar-a-Lago, en Floride.
C’est écrit par Alexis Buisson relayé par le site en ligne de Médiapart.
Extraits et commentaires de ma part, humble chroniqueur de radio libre.
« Un bref salut aux objectifs, le visage fermé, au milieu d’uniformes et de gardes du corps. Il était 13 h 24, heure de New York, quand Donald Trump s’est engouffré, mardi 4 avril, dans le palais de justice de Manhattan pour être placé en état d’arrestation.
Il n’est pas resté très longtemps – une bonne heure – mais l’instant n’en est pas moins historique : jamais un président états-unien n’avait été inculpé au pénal pour un crime. Dans le silence de plomb qui régnait dans la salle d’audience au quinzième étage, où il s’est présenté devant le juge Juan Merchan, Trump a plaidé « non coupable » lui-même – et non par l’intermédiaire de l’un de ses avocats – des trente-quatre chefs d’inculpation retenus contre lui. Un geste qui ouvre la voie à un possible procès.
Le parquet de Manhattan lui reproche notamment d’avoir cherché à dissimuler, en trafiquant les comptes de son entreprise, des paiements secrets destinés à acheter le silence de personnes qui auraient pu nuire à sa candidature à la présidentielle en 2016. Parmi elles, l’actrice pornographique Stormy Daniels, avec qui il aurait eu une relation extraconjugale datant de 2006.
Après sa reddition, Trump a regagné son avion, « Trump Force One », clin d’œil à l’appareil présidentiel « Air Force One », pour rentrer chez lui, dans sa villa de Mar-a-Lago en Floride, où il a revêtu ses habits de candidat aux primaires républicaines pour la présidentielle de 2024. Entouré de ses supporteurs et supportrices, il a prononcé dans la soirée un discours de campagne pour s’en prendre violemment à ses opposant·es. « Ils ne peuvent pas nous battre dans les urnes, alors ils utilisent la justice. Le pays en est là !, a-t-il lancé. Nous ne laisserons pas ces gauchistes radicaux…
(à suivre…)lundi 10 avril 2023 – 10h20 / 17h05
O.Nottale
