México al feminino

17/06/2024 6

México al feminino maos

México au féminin

Il y a peu les élections au Mexique ont porté Claudia Sheinbaum à la présidence, une première pour l’état mexicain avec celle qui fut maire de la ville de México et participa aux travaux du GIEC. Dans un pays en proie à la violence des gangs et du narcotraffic, à une crise climatique qui prend des dimensions plus qu’inquiétante et installant une crise de l’eau sans précédent, et affichant dse tristes records en matière de féminicides, cette élection est porteuse d’une vraie espérance qui contrast’e fort avec la situation que nous vivons en ce moment en Europe et particulièrement en France.

Ouvrir Mélimélomane aux compositrices mexicaines – ou du moins à quelques-unes d’entre elles – nous semblait aller de soi et nous vous poposons donc cette semaineun petit aperçu des œuvres Guadalupe Olmedo, Graciela Agudelo, Hilda Paredes, Gabriela Ortiz ou Georgina Derbez.

Précisément au programme :

Gabriela Ortiz (1964) – Revolución Diamantina (2022) – Los Angeles Philharmonic et Los Angeles Master Chorale dirigés par Gustavo Dudamel
Gudalupe Olmedo (1854-1889) – Quatuor à cordes (4e mouvement) – Cuarteto Ruso-Americano
Graciela Agudelo (1945-2018) – Navegantes del Crepúsculo – Trio Neos
Hilda Paredes (1957) – Toccata pour clavecin (1982) – Agueda González
Georgina Derbez (1968) – Visión de la puerta del vino, pour clavecin – Agueda González
Georgina Derbez – La Forca, il Sparvier – Eva Zollner, accordéon et Verena Wuesthoff, flûtes à bec
Gabriela Ortiz – Altar de cuerda (concerto pour violon et orchcestre, 1^er mouvement – 2023) – Maria Dueñas, violo – Los Angeles Philharmonic dirigé par Gustavo Dudamel