play_arrow

Les Chroniques d'Olivier Nottale

Faut-il s’attaquer à une industrie florissante ?

today10/10/2022

Arrière-plan
share close
  • cover play_arrow

    Faut-il s’attaquer à une industrie florissante ? Divergence


Qui n’a jamais regardé avec peut-être un peu de culpabilité ou pas du tout un site pornographique ?n

nIl est quasiment impossible d’y échapper !n

nParfois sans le vouloir délibérément vous vous trouvez confronté à ce type d’offre de plus en plus souvent libre d’accès.n

nDepuis l’arrivée massive des moyens technologiques mis à notre disposition, il est en effet difficile de ne pas jeter un coup d’œil à ces sites et ce depuis le collège. Il est loin le temps des revues que l’on s’acheter, ou que l’on voler, puis se passer sous le manteau chez le marchand de journaux.n

nLes temps sont modernes, efficaces et nos navigations restent terriblement anonymes enfin… c’est ce qu’on croit. En tout cas la mauvaise conscience peut rester à la porte de notre ordinateur. Au XXIe siècle Dieu et impuissant et il nous soumet à la tentation et ne nous délivre pas du mal ainsi-soit-il !n

nCeci étant dit, il n’est pas inutile de soulever le rideau avec les jupes des « hardeuses » les principales participantes à cette industrie du porno sans lesquelles rien ne pourrait se faire, pour rester objectif il y a aussi les « hardeurs » indispensables au bon fonctionnement  du système qui propose tous les goûts et les couleurs pour satisfaire les voyeurs  potentiels que nous sommes.nnUn article de Samuel Laurent pour le quotidien dit de référence « Le Monde » titre :nn« Industrie pornographique : la délégation aux droits des femmes du Sénat veut « provoquer un électrochoc »nnQuatre sénatrices ont  présenté, mercredi dernier, le premier rapport parlementaire sur le sujet, dont « Le Monde » a eu connaissance, et qui adopte un ton tranché et des propositions musclées contre une industrie « toxique », qu’elles espèrent réguler fortement.nn« C’est la première fois que je travaille sur un sujet sur lequel il n’existe aucune bibliographie institutionnelle, aucun rapport, rien. » Et pour Laurence Rossignol, vice-présidente socialiste du Sénat et rapporteuse, aux côtés de trois autres membres de la délégation aux droits des femmes de la chambre – les sénatrices Annick Billon (Union des démocrates et indépendants, Vendée), Alexandra Borchio-Fontimp (Les Républicains, Alpes-Maritimes) et Laurence Cohen (Parti communiste, Val-de-Marne) –, du premier rapport parlementaire sur l’industrie pornographique, ce manque d’intérêt pour le sujet n’est pas un hasard…nnnnnn(à suivre…) Lundi 10 octobre 2022 – 10h20 / 17h05nnnnnO.Nottalen »


Les Chroniques d'Olivier NottaleSociété

Rate it
0%