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Les Chroniques d'Olivier Nottale

Coronavirus, vive la dictature !

today17/02/2020

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    Coronavirus, vive la dictature ! Divergence


Drones, caméras, robots… La tech en pointe pour lutter contre le coronavirus. Maxime Recoquillé journaliste pour l’Express a publié en ligne cet article un peu terrifiant.nAvant de vous en lire quelques extraits, il faut bien le reconnaître que nous sommes estomaqué devant la capacité de la Chine à gérer cette crise sanitaire, on a l’impression que celle-ci lui donne l’occasion de nous montrer sa terrible efficacité pour contrôler sa population, en quelques sorte : vive la dictature ! Big Brother is watching you !nnLaissons la parole au journaliste de l’Express : « Les drones sont utilisés de multiples façons : pour prendre la température d’habitants confinés, pour diffuser du désinfectant ou encore repérer ceux qui ne portent pas de masque.nnEn Chine, les dernières nouveautés technologiques aident à contenir ou analyser la progression du coronavirus… tout en maintenant les habitants sous contrôle.nnL’un peut nettoyer les routes et les espaces publics à l’aide de désinfectant, en totale autonomie pendant trois heures. L’autre, composer près de 200 appels en cinq minutes à des habitants potentiellement malades, récoltant des informations tout en constituant pour eux un dossier médical mis à disposition des centres de soins locaux. Ces actions, pour limiter la diffusion du coronavirus ou simplement le détecter sont les œuvres de robots dans la région de Shanghai.nnnL’épidémie, qui selon le dernier bilan effectué il y a une semaine a emporté officiellement 908 personnes et touchée plus de 40 000 autres en Chine continentale, mobilise toutes les forces vives du pays. Y compris technologiques. A ce petit jeu, l’état communiste redouble d’astuces. Quitte à restreindre considérablement les mouvements de ses citoyens. A Hong Kong, par exemple, les autorités locales ont mis au point un bracelet connecté à une application mobile. Selon le South China Morning Post, une trentaine de familles, chez qui il y a une suspicion de contamination, sont pour l’heure reliées au dispositif pour une quarantaine de 14 jours. Pendant ces deux semaines, l’application veille scrupuleusement à ce qu’aucune personne ne sorte de chez lui. Dans le cas contraire, les contrevenants risquent une peine de prison (6 mois) et près de 600 euros d’amende. Petite concession : les bracelets ne sont pas équipés de balise GPS…(à suivre…)nnLundi 17 février 2020 – 10h15 / 17h15nnO. Nottale« 


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