Vincent Cuvellier Divergence
Vincent Cuvellier est né à Brest, il va avoir 50 ans, il écrit pour la jeunesse, et certains de ses livres, publiés chez Gallimard, sont recommandés par l’Education Nationale. Eh, ne fuyez pas ! Ça vaut la peine de rester !n
n
D’abord parce que, comme dit l’autre, il faut bien être né quelque part, et que Vincent Cuvellier se nourrit du passé parfois tragique de la ville de Brest pour romans et albums, comme « Les socquettes blanches », en hommage à son père.n
n
Ensuite parce que l’homme écrit depuis ses 17 ans, une cinquantaine de livres, traduits en 15 langues, il doit bien y avoir une raison, non ?n
n
Ensuite (encore), parce que la littérature jeunesse, quand elle n’a pas bridée (comme c’est hélas de plus en plus souvent le cas) par le politically correct, c’est un refuge d’innovations, d’inventivités. Les enfants sont cash, ils ne lisent pas parce que ça fait bien, ils lisent, ou pas, parce qu’ils aiment ! Quant à Gallimard, ma foi son secteur jeunesse n’a jamais démérité en termes d’audace et d’originalité, loin de l’image parfois compassée de la maison !n
n
Alors restez pour découvrir l’auteur du délicat (mais pas mièvre) Mon fils, et de la série des Emile, un petit garçon très, mais alors là très très tétu…n
n
Vincent Cuvellier en interview dans Rock’n Pages.nnnnDiffusion jeudi 15 mars 2018 – 19h00nRediffusion samedi 17 mars 2018 – 18h00nnnAnimation Mp.SorianonRéalisation B.Bertrandnn »