Un nouvel engouement : l’agivoltaisme Divergence
On parle beaucoup de croiser les regards et de trouver des solutions qui répondent à des problèmes complexes.
L’agrivoltaisme pourrait s’inscrire dans ce registre
Les agriculteurs vivent difficilement d’un revenu trop juste. De plus en plus les aleas climatiques les touchent
Pendant ce temps les territoires ont besoin de toujours plus d’énergie et la France est encore en retard sur ses productions énergétiques à base d’ENR (energies renouvables)
C’est de la rencontre de monde de l’agriculture et de l’énergie qu’est né l’agrivoltaisme, une pratique qui consiste à associer, à faire coexister sur un même site une production agricole, maraichage relevage , vigne, verger …. et de manière secondaire , une production d’électricité par des panneaux solaires photovoltaïque.
On commence sérieusement à en parler à tel point qu’il fait l’objet d’une attention juridique particulière
De nombreux groupes revendiquent la paternité de cette idée.
Nous avons retenu le premier exemple, celui du groupe Akuo, le phenix en japonais, fonctionnant depuis vingt ans sur l’ile de la Réunion. Le modèle est semblable à bien d’autres mais il se distingue dès le départ par sa philosophie qui met la technologie au service de l’agriculteur et non l’inverse. Certes il fallait fournir de l’electricité toujours insuffisante mais il fallait surtout maintenir des filières agricoles fragiles et surtout tenir compte du fait que le foncier était rare et ne pouvait être occupé pour une unique production
Deux témoignages: celui d’Eric Scotto tdg du groupe AKUO et de maitre Florian Ferjoux cabinet Gossement et associé.
Animé par la journaliste D.Martin-Ferrari