Les rats du Brexit quittent le navire Divergence
Je ne sais pas ce que vous pensez du Brexit, si même si vous en pensez quelque chose. Pour être parfaitement pas objectif, disons que le Brexit est l’occasion de pilonnages médiatique en règle de la part de nos chères élites néolibérales tellement grossiers que, du coup, on serait instinctivement pour.n L’une des conséquences du Brexit est que les rats quittent le navire – pardon, que les boursicoteurs – pardon, que les investisseurs – ne voulant pas se trouver trop coupés des pays de la Communauté européenne qui constituent désormais leur terrain de jeux favori, se voient obligés de quitter la City, le cœur financier de Londres, pour pouvoir continuer à exercer en toute quiétude leurs bienheureuses et lucratives activités pour le plus grand bénéfice des contribuables et des banquiers européens, qui sont rarement les mêmes personnes.n D’ordinaire, quand les rats quittent le navire, peu nombreux sont, à terre, ceux qui se soucient de leur sort. D’ailleurs les rats, c’est bien connu, ça sait nager. Mais, dans le cas qui nous intéresse, il n’en est rien. C’est à qui déploiera les trésors de séduction les plus éhontés pour attirer ces rats dans leur beau pays. Dans cette compétition (ben oui, c’est une compétition), deux pays tiennent la corde, l’Allemagne et la France, et plus précisément deux villes, Francfort et Paris.nnnnnDiffusion lundi 28 mai 2018 – 17h40nnnY.Desrichard«