Silences

28/01/2024 4

Cette semaine mélimélomane vous propose d’essayer d’écouter « the sound of silence »… Ou comment le silence peut donner tout son sens et toute sa force à la musique, sans forcer aller jusqu’à l’extrème ‘gag’ de John Cage de 4’33 », une pièce pour piano seul en trois mouvements entièrement silencieux !

Nous partons de l’idée qu’une musique qui ne ferait aucune place au silence ne serait plus que du bruit. On peut ne pas être d’accord, sans doute, mais voici quelques exemples pour tenter de vous en convaincre, si nécessaire.

Entre deux silences, donc, un peu de musique…

Franz Liszt – début de la Sonate en si mineur par Lazar Berman (1955)
Robert Schumann – Im Wunderschönen Monat May (extrait des Dichterliebe) – Dietrich Fischer-Dieskau et Gerald Moore
Léa Boudreau – Bestiaire pour la fin du monde (2021)
Francis Dhomont – La Bayle musique