Georges Delerue nous manque

Georges Delerue nous manque, et tout est dépeuplé. Déjà trente ans qu’il est mort (à Burbank, en Californie), mais ses musiques nous restent, qui ont occupé plus de cinq décennies du cinéma français, mais aussi américain, avec un oscar à la clé.n nnnPicorons donc, décennie par décennie, en commençant par « Hiroshima mon amour » qui, en 1959, réunissait Marguerite Duras et Alain Resnais pour une évocation très décalée, même pleine d’humanité, de la bombe atomique. « Une aussi longue absence » était un cran au-dessous, mais on n’a pas oublié que Cora Vaucaire y chantait « Trois petites notes de musique ».n nnnnToute autre ambiance, quinze ans plus tard, avec le solide « Police python 357 » d’Alain Corneau, avec un Montand tourmenté et un François Périer (comme toujours )magistral. Plus compassé dans « La passante du sans-souci », avec la tragique Romy Schneider en vedette.n nnnAvant que de (presque) conclure sa carrière avec le magnifique « Concerto de l’adieu » composé pour le film « Dien Bien Phu » orchestré par Pierre Schoendorffer (il y était). Oui, décidément, il nous manque.nnnnnnnDiffusion mercredi 9 février 2022 – 18h30nRediffusion jeudi 10 février 2022 – 12h30nnnnAnimation Y.DesrichardnRéalisation A.Floc’h« 

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