Roberto Tricarri accompagne La Sultane de lamour Divergence
Le cinéma, né officiellement en 1895, n’a pas attendu l’invention du parlant » pour être sonore. BIen avant que le Chanteur de jazz ne fasse la révolution, les musiciens était associés aux prjections des films « muets ». Si l’image du pianiste improvisant plus ou moins en suivant les images fait partie de la mttyhologie des premiers spectacle cinématographique, il y a eu dès le début des accompagnement bien plus ambitieux, y compris de compositeurs dits « sérieux » (Camille Saint-Saëns lui-même écrira l’une des premières partitions pour l’écran.nnnnnnDe même la couleur n’a pas attendu l’invention du technicolor pour briller au coeur des salles obscures…nSi vous voulez vivre un peu de ce nos ancètres ont pu viovre l’orsqu’il allament au spectacle du cinématographe, rendez-vous au théatre Jean Vilar ce jeudi pou ce vendredi pour découvri un film de 1919, La Sultane de l’amour. Un film colorisé à la main image par image et que les musicianes regroupés autour de Roberto Tricarri accompagneront d’une partition inédite…nDon aujourd’hui, entretien avec Roberto Tricarri qui nous a reçu chez lui et nous présente son travail… avec la sultane!nn présentation sur le site du théâtrennnnÉcouter l’interview partie 1nnnÉcouter l’interview partie 2nnnnnnnDiffusion : lundi 17 octobre 2022 – 17h15nnMarc Ossorguine«